Le groupe Jean Nonet s’associe à BDO pour concrétiser son projet d’actionnariat salarié

Retour sur une collaboration fructueuse

À l’heure actuelle, les entreprises sont parfois confrontées à des défis complexes et contradictoires. C’est le cas du groupe Jean Nonet, qui cherche à la fois à se développer mais aussi à se stabiliser. François Nonet, directeur adjoint, revient sur sa collaboration fructueuse avec BDO, qui s’est soldée par la concrétisation du projet d’actionnariat salarié.

Quelles sont vos ambitions à court et à long terme ?

François : « Elles sont un peu antagonistes pour l’instant : nous souhaitons à la fois développer et stabiliser nos entreprises. Nous voulons d’une part poursuivre notre croissance organique dans nos pôles d’activités actuels, tout en restant ouverts aux opportunités de développement, notamment dans le domaine du recyclage, où nous développons de nouveaux projets. D’autre part, nous sommes bien conscients du besoin de solidifier nos process. Nous devons aussi aller plus loin dans l’intégration des entreprises qui ont rejoint le groupe ces dernières années et stimuler les synergies entre celles-ci. »


Quels sont vos défis actuels ?

François : « Ils sont nombreux. Il y a tout d’abord les défis liés à nos activités : maintenir un équilibre dans notre carnet de commandes entre les marchés publics et privés, ainsi que réaliser les chantiers qui nous ont été confiés. Ceux-ci sont de plus en plus importants et demandent une gestion adaptée. Nous devons également faire évoluer nos méthodes de travail pour qu’elles répondent aux besoins d’un groupe en expansion. Les questions relatives au financement de nos projets et à la gouvernance sont également de plus en plus nombreuses. Enfin, nous devons entretenir la motivation de nos collaborateurs, tout en continuant à attirer de nouveaux talents. Et tout cela, en préservant la culture familiale qui est au cœur de notre ADN. »


Sur quel projet avez-vous travaillé en collaboration avec BDO ?

François :  « Le projet d’actionnariat salarié, que nous avons appelé “Partenaires”. »


Quel était le problème/besoin à l’origine du projet ?

 François  : « Nous souhaitions d’une part récompenser la loyauté de nos forces vives en leur offrant la possibilité de profiter du fruit de leur travail. D’autre part, nous voulions également les encourager à s’investir à long terme dans notre groupe. C’est pourquoi nous nous sommes tournés vers l’actionnariat salarié. »


Quel était l’objectif ?

 François : « Mettre au point la structure dans laquelle ces collaborateurs allaient pouvoir entrer, élaborer le pacte d’actionnaires et coordonner les différentes phases jusqu’à la concrétisation du projet, avec l’entrée d’une première vague d’actionnaires en janvier 2024. »


Pourquoi avoir choisi BDO ? Avez-vous hésité avec un autre concurrent ? Si oui, qu’est-ce qui vous a convaincu de choisir BDO ? 

François : « Nous avions déjà travaillé avec BDO sur plusieurs projets, notamment sur des projets de structuration du groupe et de conventions d’actionnaires. Nous étions donc dans un domaine sur lequel nous avions déjà collaboré. Nous apprécions beaucoup l’équipe avec laquelle nous travaillons depuis quelques années et il nous semblait logique de mener ce projet avec eux. » 


Comment s’est passée la collaboration ?

François : « La collaboration s’est déroulée de manière très positive. Elle s’est étalée sur un peu plus d’un an, depuis l’idée initiale et les premières réunions jusqu’aux signatures finales. »


Quelles étaient les différentes phases du projet ?

François : « Nous avons tout d’abord réfléchi au type de structure à mettre en place. Nous avons ensuite consacré beaucoup de temps à élaborer les règles régissant la cohabitation des nouveaux actionnaires et la distribution des bénéfices au fil des années. Cela a nécessité la révision de plusieurs documents fondateurs, tant au niveau de la structure à créer qu’à d’autres niveaux du groupe. »


Quelle est la chose la plus importante que vous avez retenue de notre collaboration ? 

François : « Il faut être très clair sur la philosophie du projet. Savoir ce que l’on veut et ce que l’on ne veut pas permet de faire le tri plus sereinement parmi les multiples options qui se présentent. » 


Quel aspect vous a le plus plu ?

François : « J’ai beaucoup apprécié travailler avec l’équipe BDO pour plusieurs raisons : 

  • leurs conseils initiaux ont permis de définir les grandes lignes du projet ;
  • leur souci du détail ;
  • leur capacité à proposer des solutions pour répondre aux questions qui se présentaient  ;
  • leur disponibilité et leur flexibilité, qui nous ont permis de respecter certains délais serrés. »


Quels sont les résultats obtenus ? Ces résultats sont-ils perceptibles au sein de l’organisation ? 

François : « Nous avons concrétisé le projet d’actionnariat salarié avec une première vague d’actionnaires et nous sommes en train de préparer la seconde. Nous ne visions pas d’objectifs spécifiques à court terme, si ce n’est de susciter l’enthousiasme de nos collaborateurs, ce qui est clairement le cas. » 


Comment décririez-vous notre collaboration en trois mots ? 

François : « Conseil, pragmatisme, réactivité. »

test

Vous avez besoin d’expertise en matière d’actionnariat salarié ? Vous cherchez du soutien pour concrétiser votre projet ?

N’hésitez pas à contacter les experts BDO.
Contactez nous